Fabrication Additive
GDTech est actif dans le domaine de la fabrication additive depuis le milieu des années 2010, pour toutes les actions à effectuer en amont de l’impression:
– le choix des pièces candidates à la fabrication additive
– l’optimisation topologique pour tirer au mieux parti des contraintes de fabrication différentes des méthodes plus conventionnelles
– les méthodes de DfAM (Design for Additive Manufacturing)
– la simulation d’impression.
Ces disciplines sont liées et le processus est moins linéaire dans le temps qu’il n’y parait : un souci dans la simulation de la fabrication induit un retour à DfAM et une revalidation du nouveau résultat. Une non-validation et il faut peut-être changer les critères d’optimisation. Notre expérience permet de minimiser ces risques.


Le choix des pièces à considérer pour la Fabrication Additive est guidé par un double objectif: le gain en performance (poids, réduction de perte de charges, réduction des opérations d’assemblages) et la rentabilité financière. En effet, la fabrication additive permet une certaine augmentation de la liberté dans a complexité du design. On peut ainsi générer des pièces pour lesquelles la matière n’est présente que là où elle est utile à l’objectif (raideur, résistance, étanchéité…) et donc en réduire la masse. Par contre, ce procédé a en général un coût un peu supérieur aux autres procédés de fabrication plus classiques et est assez peu adapté à la production en grande série (plus de quelques centaines de pièces pour an pour des pièces de 250x250x250mm). Il s’agit donc toujours d’effectuer a priori la balance entre les gains et les potentielles difficultés. Notre expérience en la matière permet de vous aider à effectuer ce premier tri.
Rendez vos pièces plus performantes grâce à l’optimisation topologique : plus légère, plus raide pour un poids donné (opti mécanique) ou avec des pertes de charges réduites (opti fluides).
Plus d’informations sur la page dédicacée à l’optimisation: ICI


« La fabrication additive nous libère des contraintes de la fabrication traditionnelle ». Cette phrase si souvent entendue est à la fois vraie et fausse. Si les contraintes habituelles disparaissent effectivement, elles sont remplacées par d’autres. Il est donc important de concevoir votre pièce destinée à être imprimée en tenant compte du fait qu’elle va être imprimée. Cela permet d’une part de tirer parti de cette plus grande liberté relative de conception, surtout au niveau de la complexité, tirant par exemple parti des résultats de l’optimisation topologique, et d’autre part, cela permet d’intégrer les nouvelles contraintes liées à ce procédé, telles que l’orientation des faces lors de l’impression, la problématique des grandes quantités de matière localisées aux mêmes endroits…
Profitez de notre expérience dans le sujet pour gagner en efficacité, pensez AM dès les premiers pré-concepts de votre pièce ou de vos assemblages regroupés en une seule pièce imprimée ! Plus d’informations sur nos capacités en CAO: ICI
Rater l’impression d’une pièce peut couter cher : la poudre est gaspillée, le temps d’utilisation de la machine n’a rien produit, le délai pour le client peut ne plus être respecté… Tous ces risques peuvent être minimisés en effectuant au préalable une simulation d’impression. Grâce à ce calcul, vous pourrez prédire les distorsions de la pièce après impression et potentiels post-traitements (thermique et/ou usinage), mas également les risques d’arrêt pendant l’impression, suite à une rupture de support ou une collision avec la racle. La simulation est votre alliée pour des impressions « First Time Right » !
GDTech dispose des logiciels de simulation de processus de fabrication additive les meilleurs du marché : MSC Simufact et Siemens NX4AM.
